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Physique-Chimie Évaluation commune Première G1SPHCH02691

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Epreuve E3C : Physique-Chimie
Voie : Bac général
Niveau d’études : Classe de première
Session : 2025
Durée de l’épreuve : 2 heures
Calculatrice : Autorisée
Numéro du sujet : G1SPHCH02691

Extrait de l’annale :
Partie A
La pollution par le dioxyde de soufre (10 points)
Le dioxyde de soufre est un gaz sans couleur et ininflammable dont l’odeur
pénétrante irrite les yeux et les voies respiratoires. Le dioxyde de soufre provient principalement des combustions des combustibles fossiles (charbons, fiouls, etc), au cours desquelles les impuretés soufrées contenues réagissent avec le dioxygène de l’air pour former le dioxyde de soufre SO2(g). Ce polluant gazeux est rejeté dans l’atmosphère par de multiples petites sources (installations de chauffage domestique, véhicules à moteur diesel,…) et par des sources ponctuelles plus importantes telles que les centrales thermiques qui constituent d’ailleurs la plus grande source de dioxyde de soufre, notamment par la combustion du charbon.
Les concentrations de dioxyde de soufre ont fortement baissé ces dernières années au rythme d’environ 10 % par an depuis cinq ans, pour atteindre une valeur plancher de l’ordre de 5 µg.m-3 en moyenne annuelle pour l’ensemble des agglomérations.
Cette évolution récente s’explique notamment par l’amélioration des combustibles et carburants.
D’après www.actu-environnement.com
L’objectif de l’exercice est de comparer la teneur en soufre d’un fioul domestique datant de 1960 et d’un fioul domestique « nouvelle génération ».
La méthode européenne de référence utilisée pour la mesure de la quantité de matière de dioxyde de soufre gazeux est la fluorescence ultraviolette.

Partie B
Aspects énergétiques des phénomènes mécaniques : Le ski de vitesse (10 points)
Personne sur Terre, et sans assistance motorisée, ne va plus vite que l’Italien
Simone Origone, leader d’une discipline à part du ski alpin, plus spectaculaire que dangereuse.
Impossible 252,632 km/h ? Et pourtant. C’est bien la vitesse atteinte vendredi 3 avril 2015 par Simone Origone qui, pour y parvenir, s’est servi d’un instrument complexe : une paire de skis. Et d’un moteur surpuissant : la gravité.
En se laissant tomber du haut de la piste de Chabrières, gigantesque toboggan enneigé qui servait cette semaine de scène au Speed Masters dans la station de Vars (Hautes-Alpes), l’Italien de 35 ans a battu son propre record du monde de vitesse à ski (252,454 km/h).
Le Monde | 03.04.2015